Les recherches en Suisse sont complexes. En effet, ce pays comporte quatre régions culturelles et linguistiques et possède donc quatre langues nationales : l’allemand, le français, l’italien et le romanche. Deux religions y sont prépondérantes pour les registres paroissiaux. De plus, une vague d’émigration au XIXè siècle, assez importante, a envoyé les femmes dans les villes, devenues souvent des femmes de ménage.
Un guide disponible sur internet permet de trouver le lieu de la bourgeoisie de sa famille. Pour notre famille, le nom est très commun. Heureusement, nous savions d’où elle était originaire.
De plus, les données sont sous protection : pour les mariages, impossible d’y avoir accès après 1930 et pour les décès, après 1960.
L’ascendance de la famille
À chaque famille, son blason !
Trop nombreux les Dick à Grosseffolten pour que j’arrive à reconnaître les miens ! 🙂
Famille Dick
De nombreux pasteurs appartenaient à la famille au cours des siècles passés. Dans quelle mesure les armoiries, qui correspondent aux anciennes armoiries de la Hongrie, font référence aux liens connus entre le lycée de Berne et l’Église réformée de Transdanubie n’est pas claire.
Aux XVIIe et XVIIIe siècles, la République de Berne a accordé des bourses à quatre étudiants en théologie trans-danubien (hongrois occidental) du lycée. Bibliothèque de la bourgeoisie
Seulement, la famille est originaire de Grossaffolten. Trop nombreux les Dick à Grosseffolten pour que j’arrive à reconnaître les miens !
Étymologie
Dick : Nom assez courant en Alsace-Lorraine. Dans la plupart des cas, il s’agit d’un sobriquet appliqué à une personne volumineuse (allemand dick = épais, gros). Parfois, cependant, on peut avoir affaire à un toponyme désignant un lieu où la végétation est épaisse, un fourré (Bahlow, Deutsches Namenlexikon). À envisager aussi une forme courte de Dietrich.
Étymologie fournie par Jean Tosti Généanet
Famille Leiser
Pour être complet, il reste à préciser que Elisbeth Dick, mère de Frieda, était fille unique.
Pour le grand-père de Frieda, Bendict, il appartenait à une fratrie de 9 (avec 4 filles dont certaines se sont mariées. Par contre, un seul de ses frères semble s’être marié).
Du côté de la grand-mère de Frieda, Elisabeth Leiser, 2 sœurs et 4 frères, avec trois des enfants décédés jeunes. Elisabeth était la benjamine.
Les deux grands-parents sont catholiques.
Archives en ligne du canton de Berne
Répertoire des noms des familles suisse
Pour retrouver les blasons des familles dans le canton de Berne, voici le site Bibliothèque de la Bourgeoisie de Berne
Commune municipale de Boécourt – Facebook
Bourgeoisie de Boécourt – Séprais
CGAEB – Cercle généalogique de l’ancien Evêché de Bâle
Archives en ligne du canton de Berne
Répertoire des noms des familles suisses
Cette chronique doit beaucoup aux travaux de Savoie Actes Généalogie. Remerciements sincères à Blandine Coutaz-Repland pour son travail de recherche au sein de l’Office de l’état civil du Seeland à Berne. C’est à partir de la consultation des registres d’état civil et des registres des familles de Grossalffoltern que les transcriptions ont été possibles, car les photos sont interdites.
1322 Rte de Boisinges, 74250 Viuz-en-Sallaz
Instagram @savoieactes.genealogie Twitter
Honoré et ses médailles
- Actes d’état civil archivés.
De nouveau merci. Je m’y plonge toujours avec délectation, intérêt et surprise
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Merci mon seul lecteur 🙂
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